Le directeur exécutif de la GNDR, Marcos Concepcion Raba, la responsable des politiques, Becky Murphy, et la responsable régionale pour l'Asie et l'Europe, Ipsita Sircar, sont au Monténégro pour la Plateforme régionale Europe et Asie centrale pour la réduction des risques de catastrophe 2024. Suivez leurs mises à jour :
Jeudi 7 novembre 2024
- La plateforme est officiellement ouverte
- Le GNDR a soutenu le Mécanisme d'engagement des parties prenantes de Sendai (SEM) pour organiser une session à notre stand de marché SEM avec la Commission européenne. Il s'agissait plus précisément de coordonner une discussion sur les raisons pour lesquelles il est si important d'impliquer les enfants et les jeunes dans la RRC, sur les engagements pris par la Commission européenne à cet égard et sur la manière dont la Commission européenne s'y prend.
- SEM, les membres du GNDR et la circonscription des enfants et des jeunes ont eu l'occasion de rencontrer un représentant de la Commission européenne, de se connecter, d'échanger des coordonnées et de poser des questions.
- Nous avons rencontré nos membres présents : Ivane Grigolashvilli(Association Rural Development for Future Georgia) & Zeynep Sanduvac(Nirengi Dernegi).
Séances de l'après-midi :
Panel interactif : Gouvernance et coopération multisectorielles en matière de risques
Notes clés / à emporter :
- La confiance était un thème majeur. Le besoin de confiance. Le manque de confiance. En particulier à l'égard des médias et du gouvernement. Nous devons y remédier pour une gouvernance des risques efficace.
- Le GNDR a posé une question sur les défis du leadership local et sur la manière dont nous pouvons aider.
- La nécessité d'une approche globale de la société a été soulignée.
- Il est encore très difficile d'inciter les gouvernements à dépenser de l'argent pour ce qui risque de ne pas se produire - les données sont donc importantes.
Session thématique sur les infrastructures résilientes
Notes clés / à emporter :
- L'importance du secteur privé en tant que membre significatif de la chaîne de valeur pour les investissements dans les infrastructures résilientes
- Importance de l'approche globale de la société
- Le dividende de la résilience est essentiel pour justifier les investissements dans les infrastructures résilientes.
- La question des conflits se pose : pour cette région, il s'agit bien sûr de la guerre en Ukraine.
- Nous devons intégrer la résilience dans l'analyse de rentabilité des investissements du secteur privé, pour toute la durée de vie de l'actif. À cet égard, nous devons nous assurer que nous pouvons partager les données et les prévisions sur les risques. L'UNDRR travaille avec le conseil d'investissement pour développer une série de produits sur ce sujet. Intégrer la capacité de résilience dès le premier jour. Inclure un pilier d'investissement sur les actifs existants et futurs en matière de résilience.
- Défis : les rendements à court terme pour les investisseurs, l'importance de l'investissement initial et, enfin, la nécessité d'une réglementation dans l'ensemble du secteur privé pour assurer la résilience. Il faut légiférer ou cela n'arrivera pas.
- L'UNDRR défend un outil de test de résistance, qui peut être consulté ici : Stress test for resilient infrastructure (en anglais).
Session thématique : Renforcer la résilience grâce aux données
- Nous avons ensuite rencontré Animesh Kumar de l'UNDRR pour faire le point sur les préparatifs du bureau de l'UNDRR à Bonn en vue de la COP.