Une mise à jour du personnel du secrétariat du GNDR participant à la COP26 à Glasgow, Royaume-Uni.
Le Sommet des dirigeants mondiaux a lancé la COP le premier jour, avec des premiers ministres, des présidents et des membres de la famille royale du monde entier qui ont pris des engagements clés et encouragé les autres participants à agir. Demandons à nos dirigeants de rendre des comptes lorsqu'ils prennent des décisions qui affecteront les personnes les plus exposées au changement climatique. Tout au long de la COP26, nous demandons aux décideurs internationaux d'accorder une plus grande attention aux pertes et dommages, à l'égalité des sexes et à l'inclusion, ainsi qu'au financement du climat.
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Alors que la COP26 démarre, nous avons profité de la journée pour faire les premières présentations, trouver notre chemin dans la vaste salle de conférence et planifier tout ce que nous pourrions faire. Demain, nous ferons des mises à jour plus concrètes : Adessou rejoindra le groupe de travail sur les pertes et dommages, nous nous joindrons aux mises à jour du Réseau d'action pour le climat et nous assisterons à des événements parallèles pour nous connecter à d'autres groupes.
Nous avons pensé mettre en lumière le travail des autres lors de la COP26, dans le cadre de la vision de notre réseau, qui veut que chacun travaille ensemble pour renforcer la résilience des personnes les plus menacées. Aujourd'hui, nous avons rencontré le Fonds Bleu qui vise à préserver le "deuxième poumon" de la planète, le bassin du Congo. Ces tourbières couvrent 150 000 km et contribuent à préserver l'équilibre climatique. Les scientifiques estiment qu'elles stockent près de 30 milliards de tonnes de carbone, soit l'équivalent de quatre années d'émissions mondiales de CO2. Le Fonds Bleu travaille à travers l'Afrique centrale pour préserver leurs mangroves, leur biodiversité et leur écologie.